La nouvelle s’ouvre sur la description de la vie quotidienne des séminaristes de Kiev, que la plume de Gogol nous rend insolents et canailles. Ces étudiants en philosophie, théologie et rhétorique s’en vont, à cette période de l’année, rejoindre leur famille, pour ceux qui en ont, ou jeter leur dévolu sur le hasard des chemins, mendiant ou volant gîte et couvert. Les voies se séparent, chacun tente sa chance vers une direction différente découvrant les hameaux ukrainiens et leurs pittoresques habitants.