Les biographies de Pauline Viardot (1821-1910) se comptent pratiquement sur les doigts d'une main. La plus ancienne, celle de Gustave Dulong, éditée par les "Amis de Tourguéniev" en 1987, celle d'Alexandre Rozanov, publiée à Léningrad (3 éditions, 1969, 1973, 1982), celles de deux Anglaises, April Fitzlyon (1964) et Barbara Kendall-Davies (2 vol, 2004, 2012) et celles de deux Français, l'historienne Michèle Friang (2008) et le musicologue Patrick Barbier (2009), traduit en russe l'an dernier.
L'ouvrage collectif que nous présentons se distingue des biographies, car il recueille une vingtaine d'études diverses sur une personnalité cosmopolite, connue aussi bien en Asie et en Amérique qu'en Europe. Pauline Viardot, née Garcia, cantatrice d'opéra, la diva du XIXe siècle, est une musicienne accomplie, pianiste et organiste, compositeur de mélodies et d'opérettes en collaboration avec Ivan Tourguéniev.
L'ouvrage collectif que nous présentons se distingue des biographies, car il recueille une vingtaine d'études diverses sur une personnalité cosmopolite, connue aussi bien en Asie et en Amérique qu'en Europe. Pauline Viardot, née Garcia, cantatrice d'opéra, la diva du XIXe siècle, est une musicienne accomplie, pianiste et organiste, compositeur de mélodies et d'opérettes en collaboration avec Ivan Tourguéniev.