En 1928, grâce au soutien de Boukharine, paraît un volume de poèmes de Mandelstam qui reprend des poèmes de ses deux premiers recueils (Pierre et Tristia) ; il se termine par ce très ample cycle : 1921-1925. Ce sont les derniers poèmes de Mandelstam publiés en volume de son vivant. Nous reprenons ici cet ensemble intégralement. Traduction inédite de Christian Mouze.