Le récit des dernières années de la vie de Rudolf Noureev, le plus grand danseur classique du XXe siècle, par son médecin et ami, Michel Canesi. Un livre bouleversant de sincérité, de douceur, qui nous fait découvrir l'univers de la danse et dévoile des aspects méconnus de la personnalité de l'ancien directeur de la danse de l'opéra de Paris.
« I feel like something’s wrong » : c’est par ces mots que Rudolf Noureev se confie à Michel Canesi, son jeune ami médecin, sur sa santé. Quelques jours après, Rudolf apprend qu’il est atteint du sida. Michel l’accompagnera jusqu’au dernier jour.
Il aura fallu trente ans à l’auteur de ce livre pour revenir sur cette période de sa vie et raconter cette amitié sincère et profonde avec le « seigneur de la danse ». À côté du transfuge soviétique, symbole du monde libre, du danseur flamboyant et du chorégraphe exigeant, se donne à voir un Noureev intime et drôle, sarcastique, fier et doux.
Dans ces pages très personnelles, on redécouvre ses plus grands ballets, ses chorégraphies originales, son goût pour la création contemporaine, son Cendrillon nourri de sa passion pour le cinéma, sa dernière Bayadère, qui vient clore le cycle ouvert par la première, en 1961, mais aussi les grands noms de la danse française : Sylvie Guillem, Manuel Legris, Laurent Hilaire… et ses rapports difficiles avec Béjart.
C’est cet autre Noureev, celui qu’aucune biographie et qu’aucun documentaire ne peuvent restituer, que l’on rencontre ici.
Il aura fallu trente ans à l’auteur de ce livre pour revenir sur cette période de sa vie et raconter cette amitié sincère et profonde avec le « seigneur de la danse ». À côté du transfuge soviétique, symbole du monde libre, du danseur flamboyant et du chorégraphe exigeant, se donne à voir un Noureev intime et drôle, sarcastique, fier et doux.
Dans ces pages très personnelles, on redécouvre ses plus grands ballets, ses chorégraphies originales, son goût pour la création contemporaine, son Cendrillon nourri de sa passion pour le cinéma, sa dernière Bayadère, qui vient clore le cycle ouvert par la première, en 1961, mais aussi les grands noms de la danse française : Sylvie Guillem, Manuel Legris, Laurent Hilaire… et ses rapports difficiles avec Béjart.
C’est cet autre Noureev, celui qu’aucune biographie et qu’aucun documentaire ne peuvent restituer, que l’on rencontre ici.