" Quant à Cagliostro, ce n'était plus le même homme. Il tenta bien, dans sa prison, de bander sa volonté, de prononcer des formules, de hurler ses désirs; on n'entendait que des chocs contre les murs, et de vagues lueurs se discernaient à peine. Il se jetait à terre, se mordait les doigts pour ne pas hurler d'humiliation et de souffrance. Par moments il criait réclamant du vin, des promenades, et il se frappait la tête contre la paroi. "