Dans ces textes de jeunesse, Marina Tsvétaïéva touche à un genre pour lequel elle demeure méconnue - le théâtre -, y nouant courtes intrigues et petites scènes narratives autour de la rencontre amoureuse. C'est encore cependant sa plume versifiée qui frappe par son incandescence dans ces deux tableaux où se meuvent, poétiquement, silhouettes brûlant d'absolu et solitudes sans remède.