« En tant qu'envoyée spéciale en Tchétchénie, je suis fière, mais également profondément triste d'avoir pu apporter mon témoignage sur ce sombre conflit. En 1999, c'était mon devoir de journaliste ; aujourd'hui, cela reste mon devoir tout court. C'est pourquoi j'ai décidé de publier ces nouvelles pages sur cette guerre qui se perpétue dans l'indifférence quasi générale et dont on pourra bientôt dire qu'elle n'aura pas eu lieu. »