Etude du nihilisme et de son dépassement possible par un philosophe et théologien (1901-1970) qui a enseigné à l'Institut Saint-Serge. Chez Gogol comme chez Dostoïevski, il s'agit de la même exploration du mal dans ses abîmes et sa platitude, dans sa réalité spirituelle, cette déchirure de l'être que ni le progrès ni la révolution ne pourront jamais réparer.