Ce livre rassemble deux textes autobiographiques du grand écrivain russe d'après-guerre. Le premier, Le Livre invisible, retrace ses aventures éditoriales dans la Russie communiste et son impossibilité d'y publier son premier livre ; le second, Le Journal invisible, fait état de la non moins impossible tentative de monter un journal russe à NewYork dans le monde capitaliste.
Dans le Livre invisible, il conte le règne de la bêtise des dernières décennies poststalienniennes, dans le Journal invisible, les déboires des immigrés russes dans la métropole américaine entre une poétique des marges à la Bukowski et la grande tradition auto-ironique russe.
Dans le Livre invisible, il conte le règne de la bêtise des dernières décennies poststalienniennes, dans le Journal invisible, les déboires des immigrés russes dans la métropole américaine entre une poétique des marges à la Bukowski et la grande tradition auto-ironique russe.