C'était écrit dans Suite à l'hôtel Crystal en 2004 : Olivier Rotin devait mourir cinq ans plus tard à Bakou, dans la chambre 1123 de l'hôtel Apchéron, d'une balle de pistolet Makarov 9 mm. Au printemps 2009, l'écrivain décide de se rendre dans cette capitale de l'Azerbaïdjan, pour voir si la mort est bien au rendez-vous. Arrivé sur place, il découvre que l'hôtel a été détruit...