Au début de l'ère soviétique, de jeunes cinéastes contribuèrent brillamment à la théorie du cinéma et, plus particulièrement, à la théorie du montage cinématographique. Attrapant au vol le mot français "montage", Kouléehov fit le premier pas, suivi par son ami Poudovkine dont les textes sont négligés à tort ; mêlant la théorie au manifeste militant, Vertov franchit un autre pas ; last but not least, Eisenstein apporta à cette construction une esthétique de haute volée.
Chacun de ces auteurs expose son regard sur sa propre pratique et simultanément un regard sur le cinéma comme art du film. Leur diversité enrichit l'approche du cinéma, y compris la théorie générale du montage.
Chacun de ces auteurs expose son regard sur sa propre pratique et simultanément un regard sur le cinéma comme art du film. Leur diversité enrichit l'approche du cinéma, y compris la théorie générale du montage.