De nos jours, la plupart de ces miséreux sont des pauvres qui vagabondent sans besace, jeunes pour la plupart, et qui ne sont pas infirmes. Ils sont tous dans l'état le plus pitoyable qui soit, pieds nus, en guenilles, décharnés, tremblant de froid. On leur demande : " Où allez-vous ? " Et la réponse est presque immuable : " Chercher du travail " ou "J'ai cherché du travail, mais je n'en ai pas trouvé, je rentre chez moi.
Il n'y a pas de travail, partout on ferme les entreprises. "
Il n'y a pas de travail, partout on ferme les entreprises. "