" C'est un puits sans fond. Je n'ai fait que me pencher dessus. " Ainsi parle Dina Rubina de l'art marionnettique. D'un côté, cet art nous invite à un grand questionnement métaphorique entamé autrefois par Platon qui voyait dans les hommes des marionnettes aux mains des dieux, et sublimé plus tard d'une manière féérique par des conteurs aujourd'hui tenus pour des géants, tels Andersen et son Intrépide soldat de plomb, Collodi et son morceau de bois nommé Pinocchio.
D'un autre côté, la marionnette nous plonge dans un bouillon populaire foisonnant de rires et de drames, dde burlesque et de grotesque, de gaieté et de gravité, à l'imagination débridée, où nage une foule de fantoches, guignols, polichinelles, ... et petrouchkas.
D'un autre côté, la marionnette nous plonge dans un bouillon populaire foisonnant de rires et de drames, dde burlesque et de grotesque, de gaieté et de gravité, à l'imagination débridée, où nage une foule de fantoches, guignols, polichinelles, ... et petrouchkas.