La russophobie bat son plein. Le moujik n'est pas loin d'être affublé d'un couteau entre les dents. L'Occident souffre d'hallucination collective. Il faut parler ici de «folie» plutôt que de «phobie». L'Occidentocentrisme fait des ravages. Le prosélytisme n'est limité que par les impératifs géopolitiques ou une trop grande incompréhension. Cet abécédaire, parcourant certains clichés sur la Russie, au-delà du triptyque ours-balalaïka-vodka, veut apporter quelques éclaircissements sur ce pays, mais aussi sur les motivations de l'Occident - foncièrement politiques.
Car la folie n'est que de surface. «L'auteur vit depuis plusieurs années le « cauchemar russe », quelque part aux environs de Moscou».
Car la folie n'est que de surface. «L'auteur vit depuis plusieurs années le « cauchemar russe », quelque part aux environs de Moscou».