La Fin de Casanova, pièce majeure du théâtre de Marina Tsvétaïéva (1892-1941), l’un des poètes de langue russe les plus exceptionnels, a été composée en 1919, juste avant l’exil en Tchécoslovaquie, puis en France.
C’est l’histoire d’un adieu, l’histoire d’une passion, écrite dans une langue brûlante, à la limite extrême de la rupture – une méditation lyrique sur la mort et l’amour impossible.
Pour la première fois traduite dans le respect de sa forme, cette pièce tragique est tout à la fois l’un des sommets de la poésie de Marina Tsvétaïéva et une œuvre dramatique dont la force éclate à l’épreuve de la scène.