Les nez ne mènent pas une existence paisible à Saint-Pétersbourg : ils peuvent se perdre et se retrouver n'importe où, comme dans le pain du barbier Iakovlevitch, qui fait tout pour se débarrasser de l'intrus avant qu'on ne l'accuse. De son côté, le pauvre Kovaliov tente de récupérer par tous les moyens son nez disparu. Mais celui-ci, décidément très indépendant, préfère devenir conseiller d'Etat et porter de beaux uniformes brodés d'or plutôt que de reprendre sa place initiale.
Tirés des Nouvelles de Pétersbourg, "Le Nez" et "Le Manteau" surprennent par leur humour. Les rebondissements incongrus et le style désopilant de Gogol font de la lecture de ces nouvelles un véritable plaisir.
Tirés des Nouvelles de Pétersbourg, "Le Nez" et "Le Manteau" surprennent par leur humour. Les rebondissements incongrus et le style désopilant de Gogol font de la lecture de ces nouvelles un véritable plaisir.